Radicale est un serveur qui permet le partage de ses contacts, calendriers et tâches grâce aux formats Caldav (calendriers et tâches) et Carddav (contacts) entre vos divers appareils (ordinateurs, tablette et téléphone). Pourquoi créer un serveur personnel alors qu’existe des services en ligne gratuits le permettant. Tout simplement parce qu’il s’agit de vos données personnelles et que ces services vont utiliser ces données pour profiler vous ou vos contacts. Votre liste de contact, vos rendez-vous… ne regarde personne sauf vous même.
Il y a quelque temps, j’ai changé de serveur de torrent (voir ce post) pour qBittorrent. Un retour sur l’utilisation au quotidien de celui-ci me semble pertinent. À l’utilisation, l’interface est claire et plutôt agréable. La possibilité de basculer entre une vitesse normale et une vitesse réduite se révèle utile pour limiter l’engorgement du réseau. Après presque deux mois d’utilisation, j’apprécie (malgré plus d’une centaine de torrents) d’avoir une interface qui est toujours réactive.
À l’usage les pertes de connexion avec le serveur web de mon instance Deluge m’ont lassé. J’ai donc recherché un autre serveur de torrent pour mon Raspberry avec comme impératifs : pouvoir me connecter sur une interface web pour voir si tel ou tel téléchargement est terminé ; avoir une empreinte mémoire limité (sur un Raspberry la mémoire est faible). Ces exigences disqualifient d’office les serveurs en ligne de commande.
Ne pouvant et ne souhaitant pas laisser mon PC allumé 24 h/24 pour télécharger divers types de fichier, j’ai transformé mon Raspberry pi en serveur de téléchargement. Mes besoins Mes besoins sont simples. Il s’agit de pouvoir lancer un téléchargement et le récupérer une fois celui-ci terminé. Toutefois, il n’est pas rare que la vitesse de récupération soit peu élevée, ce qui allonge d’autant le temps nécessaire à celle-ci. De plus, si l’on souhaite pouvoir partager le plus longtemps possible, une place disque importante est nécessaire.
En relation avec le post Installation de Calibre serveur sous Linux, il me semble naturel d’évoquer les epubs. En effet, Calibre permet tout à la fois de gérer sa bibliothèque numérique (dans de multiples format), activer un serveur qui permet une mise à disposition de celle-ci, convertir d’un format vers un autre et aussi créer ou modifier un fichier epub. C’est sur ce dernier point que je souhaite m’attarder.
Commençant à avoir beaucoup de fichier EPUB, j’ai eu besoin de les classer par genres, auteurs, etc. De même, permettre à ma femme de pouvoir facilement et à tous moment accéder à ceux-ci en bénéficiant d’un résumé à partir de sa tablette (qui lui sert de liseuse) était indispensable. Je me suis donc très rapidement lancé dans l’installation de Calibre sur mon Raspberry Pi auquel j’ai depuis quelques temps adjoint un disque dur externe en USB.
Depuis quelque temps déjà Systemd est utilisé en remplacement de SysV et de ses multiples scripts par la quasi majorité des distributions. En dehors des polémiques que l’on a vu fleurir un peu partout entre les pros et anti Systemd, j’avoue que pour l’utilisation que j’en ai, Systemd fait plutôt bien son travail. Ayant besoin de Samba pour du partage de fichiers, j’ai apprécié que la configuration soit automatiquement rechargée si elle est modifiée.
Cela fait un bon moment que je n’ai pas fait de nouvel article. Manque de temps, de motivation et d’idée d’article sont les principales causes. Il n’est pas ici question de savoir si j’apprécie ou non SystemD comme système d’init. Mais de comment faire pour lancer le démon en tant qu’utilisateur non root. Pourquoi faire de cette façon ? Tout simplement pour récupérer facilement les fichiers téléchargés à travers mon réseau via NFS.
En effet, je me suis aperçu que la place utilisée sur ma partition diminuait. Il y avait donc des réglages que je n’avais pas fait ou mal. Je fais donc ici quelques ajouts concernants mon article précédent. Activation du script postmirror.sh La ligne : set run_postmirror 0 devient : set run_postmirror 1 Car si cette variable est mise à zéro le script postmirror.sh n’est pas exécuté. Ajout des lignes permettant d’automatiser la suppression des fichiers obsolètes.
Il m’arrive parfois d’avoir à envoyer des fichiers sur mon hébergement. Le besoin d’utiliser un logiciel ftp tel filezilla est parfois gênant. En effet, selon la taille et la vitesse d’envoi cela peut prendre un certain temps. J’ai donc cherché une solution permettant d’utiliser un script bash et par là même cron. Je voulais au lancement du PC pouvoir lancer ou reprendre l’envoi et savoir quels fichiers avaient été envoyés.
Cela fait presque deux ans que j’ai fait l’acquisition d’un Raspberry Pi. Il est donc temps de faire le bilan. J’ai acquis ce Raspberry Pi avec deux objectifs. Pouvoir mettre en place un dns personnel ; et filtrer un peu afin de limiter toutes les requêtes vers des sites tels google et consorts. Le Pi fonctionnement parfaitement avec des temps de fonctionnement assez long. La raison pour laquelle il y a des interruptions de fonctionnement tient principalement aux micro coupures électriques qui sont malgré tout assez fréquentes par chez moi.
Ayant plusieurs machines fonctionnant sous Debian, je trouvais qu’il était particulièrement pénible de lancer les mises à jour et d’encombrer ma ligne ADSL pour faire exactement la même chose sur chacune d’entre-elles. J’ai donc commencer à chercher comment créer un dépôt local qui me permettrai non seulement de gagner du temps mais aussi d’alléger le trafic passant sur ma ligne. C’est ainsi que j’ai découvert apt-mirror Contraintes techniques Lorsque l’on souhaite installer localement (chez soi dans mon cas) un miroir, cela implique d’avoir une liaison internet (ADSL de préférence) et un espace de stockage suffisant sur le disque destiné à accueillir celui-ci.
Avec Linux il est possible de monter très facilement une image ISO comme n’importe quel périphérique de stockage. Pour pouvoir monter une image ISO, il suffit de la monter comme périphérique de boucle locale (loopback), à condition d’avoir cette option compilée dans le noyau. Dans la section Block devices, l’option Loopback device support doit être activée, c’est le cas dans la plupart des distributions. Il suffit ensuite de monter l’image de la manière suivante sous root :
En ce début d’année 2015, j’ai voulu revoir un peu l’organisation de mes disques dur. En effet, j’avais 2 partitions dédiées à Windows chacune sur un disque.La première qui contient le système étant sur un disque de 80 Go partitionné entre Debian et Windows sur sda. La seconde, en fat 32, se trouvais en fin d’un disque de 2 To normalement dédié au stockage sur sdb. Bref, c’était le bazar avec les disques et les partitions.
Lorsque l’on veut avoir accès à des disques, qu’ils soient locaux ou distants, la réponse la plus fréquente que l’on lit sur les forums est d’éditer le fichier /etc/fstab et d’y inscrire l’accès au disque (local, réseau via NFS ou CIFS). Cette réponse, bien que pertinente ne prends pas en compte un point important. Le profil de l’utilisateur et la fréquence d’accès au disque. Si pour un disque local l’inscription directe de celui-ci dans /etc/fstab s’avère généralement le plus pertinent, ce n’est pas le cas pour les accès à des disques réseaux via NFS ou CIFS.
Comme tout le monde devrait le savoir, en langue française les majuscules doivent être accentuées. En effet, selon le texte, le fait de ne pas accentuer les majuscules (en plus d’être une faute de français) va en changer fondamentalement le sens. Pour illustrer mon propos, voici un exemple simple mais très parlant. UN POLICIER TUE a une signification très différente de UN POLICIER TUÉ. Voici donc comment obtenir sous Linux des majuscules et lettres accentuées (ainsi que quelques symboles) :
Mon serveur d’impression actuel (un boîtier acheté il y a plusieurs années) n’étant pas allumé en permanence (cela oblige a patienter plusieurs minutes avant de pouvoir imprimer). De plus, comme il donne des signes de faiblesse, je me suis penché sur l’installation d’un serveur d’impression avec partage d’imprimante via Samba pour Windows sur mon raspberry pi récemment acquis. Si l’installation de Cups et son paramétrage sur mes machines Linux a été plutôt simple (en dehors d’un petit souci pour déterminer la forme exact de l’adresse IPP pour joindre correctement le serveur), il en a été tout autrement pour mes machines encore sous windows.
Les pages de man si elles sont une source indéniable d’information sur un système GNU/Linux ne sont absolument pas attrayantes. Avec quelques manipulations très simples, il est possible de les rendre bien plus agréables à consulter. Pour commencer, il convient d’installer le pager (programme permettant d’afficher du texte) que nous utiliseront en lieu et place des traditionnels less et more. aptitude install most Bien évidement, il nous faut maintenant signaler aux divers programmes utilisant less ou more d’utiliser de préférence notre nouveau pager.
On voit plus ou moins régulièrement sur les forums des demandes concernant des scripts afin de surveiller la modification, suppression… de fichiers ou répertoires. Généralement, les réponses orientent sur la création de scripts lancés par cron à intervalles réguliers ou, moins fréquemment, sur l’utilisation de inotify (intégré au noyau de puis le 2.6.13). Ces réponses, si elles sont pertinentes, posent des problèmes soit de charge (exécution inutile de script avec cron) soit des difficultés d’extensibilité ou maintenance.
J’ai depuis peu fait l’acquisition d’un Raspberry Pi type B (avec 512 Mo de ram). Pour ceux qui ne connaissent pas le Raspberry Pi, il s’agit d’un ordinateur de la taille d’une carte de crédit. Il vous coûtera environ 100 € avec l’alimentation, un boîtier (sinon vous avez une carte électronique nue), une carte SD 16 Go (qui sert de disque dur) et un adaptateur HDMI vers VGA (le Raspberry Pi possède une connectique HDMI mais pas mes écran :-( ).